Dubaï : Phase 7 du parc solaire avec stockage | Die Geissens Real Estate | Luxus Immobilien mit Carmen und Robert Geiss – Die Geissens in Dubai
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Batterie du désert

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Sous le soleil écrasant de Dubaï, une révolution énergétique prend forme. Le parc solaire Mohammed ben Rachid Al Maktoum entame sa septième phase, ajoutant 1 800 mégawatts de puissance photovoltaïque et, pour la première fois, des solutions de stockage. Une avancée stratégique pour garantir une production solaire continue et propulser Dubaï vers un futur net zéro.

Le sol brûle sous les pas, l’air danse sous la chaleur. Et au milieu du désert, un paysage futuriste se dévoile : des milliers de panneaux solaires s’étendent à perte de vue, captant chaque rayon du soleil. Bienvenue dans le plus grand parc solaire du monde – celui de Mohammed ben Rachid Al Maktoum, au sud de Dubaï.

Ici commence la phase 7. Et elle marque un tournant. 1 800 mégawatts de puissance solaire supplémentaires seront installés, mais surtout, pour la première fois, une attention particulière est portée au stockage de l’énergie. Objectif : fournir de l’électricité même quand le soleil se couche.

« Le défi, ce n’est plus de produire, mais de stocker », confie un ingénieur sur place. À ses côtés, d’immenses conteneurs blancs sont en cours d’installation – des batteries géantes, capables de stocker des gigawattheures d’énergie et de les restituer au réseau à la demande.

Un projet hors normes
  • Capacité totale visée : 5 000 MW d’ici 2030
  • Phase 7 : 1 800 MW supplémentaires
  • Développement par ACWA Power, investissement de 1,5 milliard $
  • Premières livraisons en 2026

Le développement est confié au géant saoudien ACWA Power. Le projet avance à une vitesse impressionnante, reflet de l’ambition de Dubaï : devenir un chef de file mondial en énergie solaire et stockage. Chaque phase du parc redéfinit les standards de l’énergie renouvelable.

Immobilier & Investissement : Des quartiers naissent autour du soleil

Autour du parc, la dynamique est déjà palpable. De nouveaux quartiers industriels, des zones logistiques et des logements pour les employés voient le jour. Les terres désertiques de Seih Al Dahal et Al Qudra deviennent des pôles d’attractivité. En un an, les prix des terrains commerciaux y ont bondi de 20 %. Pour les investisseurs, c’est une opportunité rare de s’ancrer dans un futur énergétique – et urbain – en pleine éclosion.