Le marché des villas de Dubaï entre dans une nouvelle ère de croissance réfléchie, portée par la demande endogène. Al Barari, DAMAC Hills et Arabian Ranches mènent la danse avec jusqu’à 20 % de hausse prévue d’ici 2026. Ce n’est plus la taille qui compte, mais l’intelligence de l’espace. Cinq tendances de vie transforment le marché en profondeur.
Le matin se lève sur Al Barari, et tout respire la tranquillité. Les allées bordées de palmiers, les fontaines discrètes, les villas baignées de lumière – ici, le luxe est silencieux. Une joggeuse croise un voisin qui sort avec son café bio. À Dubaï, le rêve immobilier prend une nouvelle forme.
Selon BlackBrick, le marché des villas connaît une transformation majeure. Finie la spéculation rapide : place à une croissance organique et durable. En tête du palmarès : Al Barari, DAMAC Hills et Arabian Ranches, avec jusqu’à 20 % d’augmentation des prix prévue en 12 mois.
« Les acheteurs sont aujourd’hui plus analytiques, plus sensibles », affirme Matthew Bate, PDG de BlackBrick. « Ils veulent des maisons qui ont du sens – pas seulement du style. »
Trois zones sortent du lot :
Derrière, Jumeirah Islands et Jumeirah Golf Estates offrent aussi des perspectives solides, entre 7 % et 12 % de hausse grâce à leur rareté et leur qualité.
Voici ce qui attire les acheteurs :
« C’est un luxe qui respire, pas qui crie », résume Bate. « Les gens veulent des maisons qui évoluent avec eux. »
Le marché des villas à Dubaï s’ancre dans une croissance durable. Moins de spéculation, plus de stabilité. Pour les investisseurs, cela signifie des rendements solides et un risque maîtrisé. Les quartiers comme Al Barari et DAMAC Hills offrent un double avantage : qualité de vie et plus-value potentielle.
Dans une ville où tout va vite, la villa devient un havre de lenteur choisie. Et cela pourrait bien être la nouvelle définition du succès à Dubaï.